
CE QUI SUBSISTE
Livre photo texte autoédité, 2025
88 pages, 41 photos, 17x24cm
Dos cousu relié, couverture souple
Tirage limité à 200 exemplaires
30€
Une déambulation photographique sous l’angle d’une autobiographie revisitée.
Un livre photo-texte plus personnel qui aborde sous l’angle d’une autobiographie revisitée mes thèmes de prédilection, la mémoire, les lieux, le fantomatique et la transmission.
Une démarche plasticienne dans laquelle j’ai rassemblé des photos prises sur plusieurs années de mes premiers tirages argentiques à aujourd’hui. Une déambulation poétique qui donne à voir mon paysage intérieur. Le texte s’inscrit en avant-propos de la série photographique et peut être lu avant ou après. Il vient éclairer une lecture transgénérationnelle de mon histoire personnelle et familiale et aborde des thématiques universelles qui peuvent faire écho en chacun.e de nous.
préventes
Ce qui subsiste paraîtra en septembre et sera remis en personne ou envoyé.
Vous pouvez dès maintenant précommander un exemplaire dédicacé et signé et des tirages de certaines photos sur la page de collecte Ulule jusqu’au 20 juin.

Ces photos qui nous parlent, Une relecture de la mémoire familiale, Christine Ulivucci, Payot, 2014.

Dans ce bel essai sensible qui nous apprend à interroger nos clichés de famille, nos autoportraits, nos photos de vacances, de maisons, de paysages, Christine Ulivucci montre ce que l’image conserve de nos secrets ou blessures intimes et comment elle peut nous soigner. Pourquoi certaines personnes passent-elles leur temps à « mitrailler » leur environnement ? Pourquoi les photos sont-elles si présentes dans certaines familles et absentes dans d’autres ? Que révèlent-elles concrètement de notre inconscient familial ?
Pourquoi prend-on des photos ? Comment les conserve-t-on ? Pourquoi éprouvons-nous le besoin de nous recontacter au passé par leur biais ? Que nous disent-elles de nous, de notre vie, de notre inconscient familial ? Ce très bel essai est la suite de Psychogénéalogie des lieux de vie.
« Plus qu’elles ne ressuscitent le passé, les photos suscitent des souvenirs, des images mentales, elles favorisent les associations et l’exploration de zones enfouies. Elles nous entraînent dans l’archéologie des choses oubliées, dans l’impensé de nos lignées. Elles nous livrent des éléments tangibles, des signes visibles de l’inconscient familial. (…) Cette posture invite, comme l’explique Georges Didi-Huberman dans Devant l’image, à ne pas se saisir de l’image, et à se laisser plutôt saisir par elle : donc à se laisser dessaisir de son savoir sur elle. »

Psychogénéalogie des lieux de vie, Ces lieux qui nous habitent, Christine Ulivucci, Payot, 2008.

Pourquoi évitons-nous certains lieux, tandis que d’autres nous attirent ? Pourquoi est-il si difficile pour certaines personnes de s’investir quelque part, et impossible pour d’autres de déménager ? Pourquoi achète-t-on telle maison plutôt qu’une autre ? Pourquoi éprouve-t-on parfois le besoin irrépressible de revenir sur les lieux de son passé ?
Telles sont quelques-unes des très nombreuses questions que ce livre éclaire. Car les lieux peuvent nous faire signe, se répondre à travers les générations, nous habiter de multiples façons. Que viennent-ils donc rappeler de notre histoire familiale ? Quel est leur rôle dans celle-ci ? Que pouvons-nous en tirer comme enseignement pour notre propre vie ? Que pouvons-nous transformer aujourd’hui d’un héritage subi ? Dans ce grand jeu de pistes auquel nous invitent les lieux, à nous de trouver des fils conducteurs, des perspectives insoupçonnées et de nouvelles impulsions.

Ouvrage collectif
Même les oiseaux chantent pendant le chaos, les Éditions de l’épair, 2020.
Ouvrage collectif réalisé pendant le confinement comme une respiration collective.
Le désir comme mouvement vital, Agathe Ulivucci. Photo Inspire, camp de Rivesaltes, 2015.